Description

L’auteur parle de l’incidence sur la justice environnementale qu’a eue l’introduction des réformes néolibérales, au milieu des années 1990, en offrant aux Premières Nations moins de possibilités légitimes de participer à la gouvernance environnementale qui touche leur santé et leur bien-être, et en exacerbant les disparités historiques relatives à la santé, à la pollution de l’environnement et au bien-être. Il prône une définition élargie de la justice environnementale afin de mieux comprendre les nombreux chemins empruntés par cette nouvelle forme de gouvernance environnementale pour se révéler particulièrement préjudiciable aux populations marginalisées comme les Premières Nations.

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Where the Waters Divide: First Nations, Tainted Water and Environmental Justice in Canada.